EN CETTE VEILLÉE D'ARMES...
Je ne vous parlerai pas de Rodrigo GARCIA - metteur en scène chouchouté par la critique "In", qui présente au Théâtre du Rond Point, un spectacle pour lequel il a recruté à l'ANPE Spectacle pour chaque représentation, une "figurante" dont il tond le crâne en scène moyennant 200 euros...Je me demande combien il aurait offert pour mutiler un sein ou crever un oeil en direct ? 500? 1000? Combien de candidat(e)s ? Je ne parlerai pas de la magnifique colère de Carole BOUQUET et de Josiane BALASKO hier, pour plaider la cause des "travailleurs" sans logis ! Je ne parlerai pas du prix de la baguette parisienne à 7 francs (oui, 7 frs!..C'est plus impressionnant que UN euro 5 centimes) et du ticket de métro à 10 balles (c'est aussi plus violent qu'UN euro cinquante centimes) ...
Non, aujourd'hui en cette veillée d'armes,pour calmer ma colère, j'ai envie de vous parler de MOZART et de "LA FLUTE ENCHANTÉE". adaptée par Jean-Hervé APPÉRÉ et Gil COUDÈNE et jouée depuis samedi au Théâtre Tristan Bernard par 11 comédiens/chanteurs/danseurs délirants. Cette compagnie a choisi la Commédia del Arte , ses masques, ses couleurs, sa fantaisie pour nous faire pénétrer dans l'univers magique de cette fable. PAPAGENO - l'oiseleur - est donc ici un irresistible Arlequin frondeur à souhait, et les gardes du Palais du Roi du Soleil, une bande de "POLICHINELLES"ridicules. Les anachronismes qui ponctuent la représentation sont totalement jubilatoires sans nuire jamais à la qualité musicale ni à la virtuosité des vocalises de la Reine de la Nuit ou aux trilles du duo de Papageno et Papagena. Bref, un vrai moment de bonheur pour fuir un moment le monde Désanchantée de Sarkoland!

Non, aujourd'hui en cette veillée d'armes,pour calmer ma colère, j'ai envie de vous parler de MOZART et de "LA FLUTE ENCHANTÉE". adaptée par Jean-Hervé APPÉRÉ et Gil COUDÈNE et jouée depuis samedi au Théâtre Tristan Bernard par 11 comédiens/chanteurs/danseurs délirants. Cette compagnie a choisi la Commédia del Arte , ses masques, ses couleurs, sa fantaisie pour nous faire pénétrer dans l'univers magique de cette fable. PAPAGENO - l'oiseleur - est donc ici un irresistible Arlequin frondeur à souhait, et les gardes du Palais du Roi du Soleil, une bande de "POLICHINELLES"ridicules. Les anachronismes qui ponctuent la représentation sont totalement jubilatoires sans nuire jamais à la qualité musicale ni à la virtuosité des vocalises de la Reine de la Nuit ou aux trilles du duo de Papageno et Papagena. Bref, un vrai moment de bonheur pour fuir un moment le monde Désanchantée de Sarkoland!