ENCORE UN PETIT JEU POUR OUBLIER L'AUTOMNE...

Publié le par Laurence

Décidément, vous avez du talent et vos "légendes" me ravissent. Je ne résisterai pas d'ailleurs à vous en proposer une petite dernière pour la route! Le jeu consiste (chère Cathy) à trouver une petite phrase qui vous semble pertinente ou incongrue pour souligner, expliquer ou détourner le sujet de la photo. Pour la précédente (qui était en fait un produit de mer non identifié) j'avais pensé en prenant la photo à "un Durex maritime" ! Mais vos trouvailles furent plus imaginatives et poétiques: "Nuage de nacre" "Faillite bancaire: les méduses" ou "Les perles de la rentrée 2008" ou "vestiges 2008"! Je livre donc à votre sagacité cette dernière photo (pour le moment) ...
...Sans doute pour servir de contrepoint au spectacle que j'ai vu hier et qui s'appelait "LE SILENCE DES COMMUNISTES" mis en espace par Jean-Pierre Vincent et qui suscite un intérêt mérité. Le propos  tient dans ces quelques lignes" Deux ex-militants et un sympathisant du parti communiste italien esquissent à travers une correspondance, une réflexion sur l'état du monde à la lueur de leur passé exaltant, dix ans après la chute du mur de Berlin". Toutes les questions sur la vie et la mort du PCI sont soulevées ici, de l'immense espoir du début à l'assujétissement à l'URSS en passant par les "fautes" et enfin l'inadaptation à une société nouvelle. Le texte de Vittorio FOA, Miriam MAFAI et Alfredo REICHLIN (édité à l'Arche) est fort et bouscule. La réflexion de ces 3 militants n'est pas pétrie de certitudes, mais elle nous pousse à réajuster nos propres questions sur l'un des grands bouleversements politique et humain du 2Oe siècle. Toutes ces questions résonnent ces jours-ci étrangement face à ce qui pourrait être les premiers symptômes de l'effondrement du capitalisme ou tout au moins de l'équilibre de l'après rideau de fer...
La photo vous inspirera-t-elle quelques métaphores bibliques?

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H
En cette période de crise ou l'on arrive à débourser des fonds pour sauver le capitalisme alors qu'on n'a jamais voulu en débourser pour sauver de vraies causes (misère, faim, logement ...) je titrerai cette poto : chacun sa croix ! Et oui, nous n'avont les mêmes valeurs, quelle tristesse !
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C
Cette pièce, « Le silence des communistes », c’est bien celle où Marie-Georges applaudit, pendant que Robert Hue !Pour la légende de la photo, voici une phrase qu’aurait prononcée Jésus, devant le tas de cailloux au-dessus duquel les carabiniers de l’époque l’ont crucifié : «Tiens, pendant que je suis là, je vais choisir une pierre, et sur cette pierre, ils bâtiront mon église, parce que moi, je ne peux plus bouger ! »C’est vrai, j’en conviens, c’est un peu long…Bises, et grosse caresse à Canelle.
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L
<br /> Je te conseille la lecture de ce texte qui pose les vraies questions de notre début de millénaire.<br /> La légende est en effet un peu longue, mais les titres longs sont plutôt "branchés" tu sais! Bises<br /> <br /> <br />
J
Et bien ma Frangine...que du beau monde à l'affiche . Ces trois personnes sont des gens que j'admire énormément car ils sont des intellectuels dont la formation se base sur un vécu glorieux. C'est le genre d'écrivains/Journalises (ils sont les deux) qui manque cruellement à notre actualité italienne....Hèlas!!Pour ta photo : " Quel calvaire que cette route!""Gros bisous
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L
<br /> C'est donc normal que j'ai trouvé la parole de ces gens tout à fait formidable...Tu sais Antoine Vitez qui fut un des grands hommes du théâtre français du 20e siècle  - mort prématurément -<br /> avait voulu adhérer au PCI et pas au PCF!<br /> J'aime aussi beaucoup ta légende qui correspond hélàs à la réflexion que nous pouvons nous faire tous les jours en ce moment!<br /> <br /> <br />
P
Excellent, Claude, je suis d'accord avec Laurence !
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C
descendez on vous demande
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L
<br /> ça j'adore totalement! Merci<br /> <br /> <br />