SHOW MUST GO ON...
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Dans le temps, même le futur était mieux » Karl Valentin
C’est une citation qu’un tendre ami a envoyé à Ma Maîtresse pour tenter de réveiller ses zygomatiques, paralysés depuis la nuit de Noel. Ma Maîtresse a toujours aimé Noël, tout en ayant parfaitement conscience que cette fête mercantile va à l’encontre des valeurs qu’elle défend, mais nous devons tous assumer nos contradictions et la part d’enfance qu’elle a conservé continue à s‘émerveiller devant les lumières multicolores, les sapins immenses et le papier doré des cadeaux devant l’âtre. Elle a toujours aimé gâter sa famille, ses proches réunis autour de la table décorée de houx et de guirlandes pour accueillir les douceurs fabriquées maison, dans les petits caissons en papier blanc plissé,. Les années ne furent pas toujours fastes, mais le plaisir d’offrir et de partager n’a jamais disparu au fil des décénnies. Hélas cette année le destin a voulu marquer ce jour tant aimé, d’un sceau noir, la maman de Ma Maîtresse a choisi en effet ce jour particulier, dédié à l’enfance pour larguer les amarres vers un improbable au-dela …Cette maman répétait à l’envi « les enfants s’arrêtent de grandir à hauteur du cœur de leur mère », mais on pourrait dire que le temps renverse l’ordre des choses et que si la vie se prolonge, la maman régresse jusqu’à se retrouver à hauteur du cœur de sa fille. Quoiqu’il en soit l’amour ne se mesure pas à l’aune du temps et la disparition d’un pan de notre histoire nous force à nous poser les questions essentielles sur le sens de la vie…dit Ma Maîtresse. Elle dit aussi « Show must go on » et ne veut pas attrister cette fin de 2008 et accueillir avec vous cet an « neuf » avec l’enthousiasme dû à la nouveauté porteuse d’espoir. Elle vous remercie donc - avec moi – pour vos témoignages de sympathie et vous souhaite tout ce que vous désirez.

C’est une citation qu’un tendre ami a envoyé à Ma Maîtresse pour tenter de réveiller ses zygomatiques, paralysés depuis la nuit de Noel. Ma Maîtresse a toujours aimé Noël, tout en ayant parfaitement conscience que cette fête mercantile va à l’encontre des valeurs qu’elle défend, mais nous devons tous assumer nos contradictions et la part d’enfance qu’elle a conservé continue à s‘émerveiller devant les lumières multicolores, les sapins immenses et le papier doré des cadeaux devant l’âtre. Elle a toujours aimé gâter sa famille, ses proches réunis autour de la table décorée de houx et de guirlandes pour accueillir les douceurs fabriquées maison, dans les petits caissons en papier blanc plissé,. Les années ne furent pas toujours fastes, mais le plaisir d’offrir et de partager n’a jamais disparu au fil des décénnies. Hélas cette année le destin a voulu marquer ce jour tant aimé, d’un sceau noir, la maman de Ma Maîtresse a choisi en effet ce jour particulier, dédié à l’enfance pour larguer les amarres vers un improbable au-dela …Cette maman répétait à l’envi « les enfants s’arrêtent de grandir à hauteur du cœur de leur mère », mais on pourrait dire que le temps renverse l’ordre des choses et que si la vie se prolonge, la maman régresse jusqu’à se retrouver à hauteur du cœur de sa fille. Quoiqu’il en soit l’amour ne se mesure pas à l’aune du temps et la disparition d’un pan de notre histoire nous force à nous poser les questions essentielles sur le sens de la vie…dit Ma Maîtresse. Elle dit aussi « Show must go on » et ne veut pas attrister cette fin de 2008 et accueillir avec vous cet an « neuf » avec l’enthousiasme dû à la nouveauté porteuse d’espoir. Elle vous remercie donc - avec moi – pour vos témoignages de sympathie et vous souhaite tout ce que vous désirez.
