CHAUD AU COEUR...
Mon précédent article s'intitulait "INTERDIT D'OUBLIER" et je viens de me rendre compte que selon les points de vue, on pouvait considérer que je me répétais ou bien que je persistais, puisque j'allais vous dire d'aller lire ou relire un article du 9 mars 2009 qui portait le titre de(cliquez dessus pour relire l'article): "PRIÈRE DE NE PAS OUBLIER" et qui traitait d'un spectacle que je recommandais chaudement "FOLIES COLONIALES". Or, pas plus tard que la semaine dernière, une de mes amies Françoise THYRION - comédienne et auteure - qui jouait dans ce spectacle m'annonçait qu'ils allaient jouer ce spectacle au théâtre National d'ALGER. J'ai immédiatement mis en relation mes amis d'Alger, amateurs de théâtre et Françoise. Pour celles et ceux qui ont suivi sur ce blog le journal de mon voyage à Alger et qui comprendront je pense mon émotion profonde et ma joie, je livre un extrait d'une part du mail de Djaouida:"Acclamés par un public conquis, dés le début d'ailleurs, les artistes en larmes ont salué émus la salle debout qui les a longuement applaudis.
Ce fut un moment de communion de part et d'autre de la scène, nous avons réagi à tout, riant parfois mais attentifs toujours.
Merci de nous l'avoir recommandé car cela été un plaisir de la découvrir ainsi que les comédiens qui ont porté avec vérité et émotion (notamment le discours de Farhet Abbas et plus encore celui de Feraoun.
Nous avons eu en une heure et demie l'histoire de la colonisation et de son échec, j'ai dit à larbi :" Heureusement , il y'a des français qui nous aiment !"
Et le court mail de Françoise Thyrion: "Journée formidable à Alger,,,,merci de m'avoir fait connaître djaouida et larbi, un rêve de gentillesse et d'hospitalité , que d'humanité..." Si certains se posent encore la question de la fonction du théâtre dans la société, en voici une réponse évidente.