ENVOLÉE ?...
Non malgré les apparences et cette photo (je promets, juré, craché que je ne l'ai pas mise en scène, mais j'ai bien trouvé cette paire de tongs abandonnée ainsi par sa propriétaire -envolée ? - dans les rochers tôt le matin, en allant faire mon jogging !) Donc, MOI, je ne me suis pas envolée ni laissée embarquer dans une molle paresse vacancière...Si je n'ai pas repris le clavier pour venir vers vous depuis que Cannelle a écrit le précédent article, c'est simplement que j'essaie de me discipliner pour "travailler " trois à quatre heures par jour. Et croyez-moi, ce n'est pas toujours simple de ne pas céder aux chants des sirènes - surtout à quelques mètres de la plage, je vous envoie d'ailleurs la vue que j'ai actuellement de mon "bureau". Pourquoi me contraindre à travailler me direz-vous alors qu'il est si doux de ne rien faire ? Je pense que mon "travail" relève davantage du plaisir que de la corvée, même si la discipline quotidienne implique quand même une notion de contrainte....En quoi consiste cette astreinte ? Durant deux jours d'abord j'ai corrigé les épreuves de l'édition prochaine d'une de mes pièces. Je vous en reparlerai prochainement. Et pour le reste, il s'agit d'une écriture plus longue, plus laborieuse, entreprise il y a plusieurs mois et que je me suis mis en tête d'achever ici. J'espère y arriver pour rentrer à Paris avec une version sinon prête à faire lire, tout au moins prête à peaufiner.
Et pour compléter mon temps sur la plage à lézarder - quand même - je lis bien sûr. Je vous parlerai dans mon prochain article du livre que je viens de terminer.