LETTRES D'UNE (PRESQUE) PERSANE...(fin ?)
Bon, cette fois-ci je n'y couperai pas, c'est la RENTRÉE, la vraie. Je vais devoir rendre le clavier à Ma Maîtresse et passer à nouveau quelques heures prisonnière derrière mes grilles. J'ai l'impression d'avoir pourtant si peu profité de ma LIBERTÉ ! Finalement je deviens terriblement "HUMAINE", moi aussi je finis par trouver que les vacances sont toujours trop courtes ! Il est temps que je rentre dans mes pénates pour retrouver un peu de ma légendaire sagesse féline. Avant de quitter ce clavier, je vous envoie quelques petites photos souvenirs: les empreintes de mouettes sur le sable vierge du petit matin, le magnifique pin parasol de Port Navalo d'une sensualité presque indécente, et puis mon coeur à marée basse. Ma Maîtresse tient à envoyer ce sourire à tous ceux qu'elle aime et qui se reconnaîtront, mais avec une mention particulière à DJAOUIDA et LARBI ses amis qui l'attendent à Alger. Je ne vous chanterai pas la célèbre chanson de la pensionnaire de la MADRAGUE: "Sur la plage abandonnée...coquillages et crustacés...", mais j'y pense en voyant les valises qui se bouclent. Le point d'interrogation après "fin" n'était qu'une facétie...je reviendrai bien sûr.